Synopsis
Cazaux est un peintre autodidacte qui s'est forgé dans l'insécurité de la rue.
Il dessine tard dans les bars de nuit à travers un périple planétaire à couper le souffle. Son livre tout public se lit comme un polar, rien n'y manque: bagarres, prostituées, filles faciles, alcooliques ou droguées, petits trafiquants, proxénètes et flics véreux, pays du tiers monde avec sa misère et ses terribles geôles. Cazaux expose aussi ses petites aquarelles de la rue dans des palaces de luxe, là il côtoie des milliardaires du golfe persique, des princes et des rois, les maitres du monde de l'industrie, de la politique, de la finance et du show business... C'est une première, une série qui manquait en tout cas à la bibliographie des aventures vécues!
Tome I : Les fantasme d’Angela
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Tome II : Les Chich Kebab d’Ahmed Mansour
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Tome III : Les geôles d’Hassan II
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Tome IV : L’homme d’un million de portraits
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Synopsis
C'est une première, un livre qui manquait en tout cas à la bibliographie des aventures vécues
« Le ciel est gris et bas, il est à l’image de mon âme, fini les jolis palmiers et les bougainvilliers multicolores de îles, fini le sable fin, la mer bleue et les barques colorées des pêcheurs. Seul le vent mauvais qui s’infiltre par les fissures de mes fenêtres mal isolées répond à l’écho de mes envies, mes os me font mal et seul le gris sale du gel a réussi à faire écho à ma chevelure actuelle. Les corbeaux noirs et les pigeons sales des gouttières ont remplacé les colibris et les canaris des îles.
Je ressasse cette inscription du piédestal de la statue de la liberté de New York : »
« Donnez-moi vos éreintés, vos pauvres.
Vos masses recroquevillées cherchant à vivre libres Les misérables rebuts de vos linges grouillants Envoyez-moi les sans toits, les épaves de vos tempêtes »
CAZAUX exagère un peu comme à l'accoutumée (fantasmes de son passé ?) Passez outre! S'il a arrêté ses grands périples à travers le monde (âge et santé obligent !) Dans cette série, il n'en continue pas moins ses saisons d'été sur la côte basque et dans le Périgord. Ses périples sont toujours cocasses, imprévus avec toujours son sens aigu de la caricature et de la dérision. Son tempérament résolument anarchiste et solitaire le poussant toujours, comme si c'était un devoir, à faire « du rentre-dedans » aux institutions, partis en places, organisations rigides, etc...
Cela bien entendu, toujours sans violence, avec sa bonhomie naturelle et pour seules armes, son verbe et ses dessins.A Saint Jean de Lutz, il essaie d'arrondir les angles de la tête carrée du chef de la police municipale....Il loge sur le bateau d'un ami basque. A Sarlat en Périgord, il dénonce le concours de peinture « truqué » organisé en septembre par une association corrompue. Il retourne 7 ans durant dans cette cité médiévale qui accueille sans distinction tous les artistes de rue, il en décrit longuement l'ambiance...A Cordes sur ciel, il se bat contre un arrêté municipal qui prétend l'empêcher de dessiner dans la rue, il en réfère à la justice en place et finit par obtenir gain de cause...Dans son quartier de Toulouse, enfin, il se moque des figures locales et le colorie d'une touche incongrue, inattendue, cachée au sérieux de ses habitants. .
Continuez à suivre Cazaux, pas de répit cette fois non plus !
Salut l'artiste !
Tome V : "...Une vie presque bourgeoise..."
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